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Sultans of Swing

If, on a certain evening about sixty-­six million years ago, you had stood somewhere in North America and looked up at the sky, you would have soon made out what appeared to be a star.

If you watched for an hour or two, the star would have seemed to grow in brightness, although it barely moved.

That’s because it was not a star but an asteroid, and it was headed directly for Earth at about forty-five thousand miles an hour.

Sixty hours later, the asteroid hit. The air in front was compressed and violently heated, and it blasted a hole through the atmosphere, generating a supersonic shock wave.

The asteroid struck a shallow sea where the Yucatán peninsula is today. In that moment, the Cretaceous period ended and the Paleogene period began.
A few years ago, scientists at Los Alamos National Laboratory used what was then one of the world’s most powerful computers, the so-called Q Machine, to model the effects of the impact.
The result was a slow-motion, second-by-second false-color video of the event. Within two minutes of slamming into Earth, the asteroid, which was at least six miles wide, had gouged a crater about eighteen miles deep and lofted twenty-five trillion metric tons of debris into the atmosphere. Julian Chaussure

Picture the splash of a pebble falling into pond water, but on a planetary scale. When Earth’s crust rebounded, a peak higher than Mt. Everest briefly rose up. The energy released was more than that of a billion Hiroshima bombs, but the blast looked nothing like a nuclear explosion, with its signature mushroom cloud. Instead, the initial blowout formed a “rooster tail,” a gigantic jet of molten material, which exited the atmosphere, some of it fanning out over North America. Much of the material was several times hotter than the surface of the sun, and it set fire to everything within a thousand miles. In addition, an inverted cone of liquefied, superheated rock rose, spread outward as countless red-hot blobs of glass, called tektites, and blanketed the Western Hemisphere.

Picture the splash of a pebble falling into pond water, but on a planetary scale. When Earth’s crust rebounded, a peak higher than Mt. Everest briefly rose up. The energy released was more than that of a billion Hiroshima bombs, but the blast looked nothing like a nuclear explosion, with its signature mushroom cloud. Instead, the initial blowout formed a “rooster tail,” a gigantic jet of molten material, which exited the atmosphere, some of it fanning out over North America. Much of the material was several times hotter than the surface of the sun, and it set fire to everything within a thousand miles. In addition, an inverted cone of liquefied, superheated rock rose, spread outward as countless red-hot blobs of glass, called tektites, and blanketed the Western Hemisphere.

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Quelques extensions

Dès la création d’un site avec WordPress, il est important de bien l’équiper avec quelques extensions. Celles-ci concernent différents aspects d’un site, qui contribuent tous à la bonne navigation de celui-ci.

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WordpreCSS

C'est compliqué d'avoir du style

J’avais précédemment trouvé le moyen de changer le style global des articles sur mon site via un menu intégré. Dans mon obstination à retrouver cette méthode, j’en ai découvert deux ou trois autres. Et je ne sais plus que faire.

(mais au moins maintenant je peux justifier mon texte et changer ma taille de police même si l’éditeur visuel ne m’en offre pas la possibilité)
Le thème gratuit propose très peu d’options de personnalisation. Une feuille de style y est associée, mais elle reste assez obscure à déchiffrer. Peut-on ajouter plus de couleurs et de styles via cette css ? J’en doute, si le but est de nous enjoindre à acheter le thème payant.
J’utilise le plug-in Elementor pour mettre en page mes articles. Antérieur à Gutenberg, le nouveau système de mise en page intégré à WordPress, il est encore largement préféré à celui-ci. Il propose une option pour récupérer les polices et couleurs du thèmes.
Elementor a cependant son propre système de préférences de couleurs et de polices intégré.

(ci-contre une trouvaille de petits effets stylés qui sont l’équivalent des WordArt au début des années 2000)

La plateforme Elementor propose un nombre de catégories à personnaliser avec des couleurs et des polices bien plus intéressant que celle du thème gratuit (qui en propose respectivement deux et zéro). C’est l’occasion de faire un camaïeu en mode 50 nuances de rose !
Et là, coup de tonnerre ! Dans les réglages détaillés, voilà-t-y pas que toute la hiérarchie de h1 à p m’est proposée ! Mais si je veux modifier ces styles, les couleurs et polices globales que je viens de choisir seront mises au placard. Gott verdammt.
C’est presque un soulagement de constater que les feuilles css ne sont accessibles que dans la version pro (en vrai, non, ce serait bien pratique).

Alors que faire ?

+ : Permet de maîtriser le css et d’en avoir une trace écrite.
– : Difficulté de lecture de celle-ci. Modification très probablement limitée.
     Quid d’un changement de thème, très probable à long terme ?

+ : Hiérarchie bien plus riche. Garde ses propriétés même si changement de thème.
– : Pas de maîtrise directe sur la feuille de style css pour une personnalisation plus subtile.

EDIT : Il semble qu’une feuille de style css d’Elementor existe, car le plugin propose de mettre celle-ci à jour dans les réglages de celui-ci. Il semble que le fichier se trouve dans le dossier « upload »… Reste à le trouver, et la tâche n’a pas l’air simple avec l’interface très très calibrée de WordPress.

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Carnet de tendanCSS
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Ce n’est que le début

Il était temps de lancer ce fichu site Internet, voilà que c’est fait.

Achat (ou location) d’un nom de domaine. Location de quelques gigas chez un hébergeur.

J’ai choisi OVH pour la facilité – et les serveurs en Europe. US servers ? Nein danke.